dimanche, octobre 22, 2006

Annick, est passée par ici


Le combat d’une vie tissée de maillons d’espoir si petits qu’ils étaient invisibles aux cœurs superficiels.

Adieu, à toi qui avais tant besoin de croire
A toi qui criait de toute voix à boire, à boire
A toi dont la vie ne fut que déboires
Parce que bondée de sourires noirs

Dis moi que voulais-tu
Dis moi que cherchais tu
Pour toi j’ai deux oreilles
Présence inutile, absence utile, mon oeil

Maintenant, coeur en émoi
Cherche raisons à son effroi
Trop tard? Me le pardonneras tu?
Fais le, cela m’apprendra si je l’avais su

De mes larmes, Je saurai te venger
De tes propres armes Je saurai t’élever
Fouetter la souffrance en douceur
Nourrir le cœur en douleur

Ne les emportes pas j’en ai besoin
Tes deux gladiateurs aussi en prendront soins
Ton arsenal est en de bonnes mains
Va t-en en paix ton espoir ne sera pas vain

Smilevie

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